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Jonathan Braun

Concepteur-développeur d’applicatifs - Cnaf

Les outils collaboratifs de la branche Famille ? C’est en partie ce qui a permis aux agents de travailler à distance dans de bonnes conditions pendant le confinement. « On a eu du nez » reconnait Jonathan Braun, qui travaille depuis déjà trois ans sur leur déploiement et leur amélioration continue.

On fait des points complets tous les 15 jours, où non seulement on met à disposition de nouvelles fonctionnalités, mais on reçoit aussi de nouvelles user stories : ça nous permet de nous adapter en permanence.

En 2008, après des études d’ingénieur à Lyon, cet Alsacien a immédiatement rejoint la Sécurité sociale et l’un de ses centres informatiques. D’abord, parce que le poste l’intéressait, et portait sur des domaines novateurs. Mais aussi parce que, fils de deux enseignants et sensible aux valeurs du service public, Jonathan voulait avant tout « travailler pour le bien commun et pas pour enrichir un actionnaire. »

 

Sa première mission pour les Allocations familiales a été de construire un système de gestion documentaire qui permette de faire efficacement le lien avec les évolutions de la législation. Un projet très ambitieux, quand on sait qu’il lui a fallu partir de zéro ou presque. « Inventer des solutions nouvelles, c’est ça qui est passionnant dans mon métier » souligne Jonathan.

 

Aujourd’hui, et maintenant qu’il travaille à la fois sur l’intranet et sur les outils collaboratifs de la branche Famille, Jonathan apprécie l’organisation agile de son équipe. « On fait des points complets tous les 15 jours, où non seulement on met à disposition de nouvelles fonctionnalités mais on reçoit aussi de nouvelles user stories : ça nous permet de nous adapter en permanence » insiste-t-il.

 

Jonathan explique aussi apprécier l’autonomie et la confiance dont il bénéficie de la part de sa hiérarchie, avec qui il peut avoir de vrais débats et exprimer pleinement son point de vue. Mais ce qui le rend le plus fier, c’est l’idée qu’il est là « pour faciliter le travail de [ses] collègues en 1re ligne, qui eux aident souvent des personnes en détresse. Ça, je le garde toujours dans un coin de ma tête » conclut-il.

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